@article{oai:soar-ir.repo.nii.ac.jp:00017518, author = {滝澤, 壽}, journal = {信州大学教養部紀要. 第一部, 人文科学. 第二部, 自然科学}, month = {Feb}, note = {Dans un roman de type traditionnel, il est dans les conventions littéraires de raconter une histoire qui s'est déroulée dans le passé. Les verbes y sont donc normalement au passé. Les romans de Flaubert ne sont pas l'exception, et leur temps ordinaire, c'est l'imparfait, ce que Marcel Proust appelle judicieusement 《l'éternel imparfait》; le présent est censé s'y trouver d'autant plus rare que l'on le considére comme un grand écrivain de 《l'impersonnalité》. Mais en réalité, il parait que ce temps s'emploie assez fréquemment et meme d'une facon consciente, et qu'il joue un rôle d'importance capitale dans la structure de ses romans. Pour élucider ce problème, nous avons analysé une grande variété de ses emplois du présent que l'on pourrait qualifier d'éternel à travers un de ses chefs-d'oeuvre, Madame Bovary.}, pages = {87--99}, title = {フローベールと小説の「現在時称」:『ボヴァリー夫人』を例として}, volume = {21}, year = {1987} }